La légitimation officielle du MMA en France semble en voie de développement, mais requiert une véritable mobilisation des participants de ce sport. Cela résume ce que l’on obtiendrait à la fin des prémices des états généraux du MMA en France qui sont programmés à Paris, en compagnie de Monsieur Patrick Vignal. Il a pour mission de transmettre au Premier Ministre Manuel Valls, en septembre 2016, un compte-rendu sur l’exercice des combats mixtes.
Avis du député
Si le représentant du gouvernement s’est dévoilé être compréhensif par rapport au besoin d’un agrément officiel et accéléré du MMA, il a tout de même saisi que le sport pâtissait d’une insuffisance d’unité à l’échelle de ses substituts sur le territoire. Toutefois, le député socialiste admet qu’on distingue quelques bases importantes d’un contexte du sport, spécifiquement pour les clubs adhérés à la CFMMA. En outre, il reste à commercialiser la discipline au niveau du jugement général et, conséquemment aux politiques. Le concept d’avoir des compétiteurs qui se mesurent dans une cage, avec l’homologation de taper son challenger à terre, reste encore impensable chez les individus non informés à la pratique des AMM et les gouvernants de l’État, similairement aux autres associations de sports de combat déjà existantes, se fondent sur cette constatation afin de contrecarrer l’acceptation du MMA.
Écouter la voix du peuple
Il existe le juridique, la symbolique ainsi que la politique. Le dixit dit qu’on n’assène pas de coups à un homme au sol pour le démolir. Le député acquiesce les raisonnements certifiant que les heurtes à terre ne blessent pas. Selon lui, le politique demande que l’on écoute la voix du peuple. L’avantage économique qu’offre l’essor du MMA, et notamment la planification éventuelle des rencontres UFC en France, ne se soustrait pas à Monsieur Vignal qui a certifié qu’il serait regrettable de s’en restreindre. Il a reçu l’UFC et a reconnu que cela équivaut à du business. Donc, si on réussit à empocher de l’argent, ce serait avantageux.