Une compétition UFC maintient en haleine les auditeurs grâce aux diverses formes d’arts martiaux employés durant l’attaque. Un combattant débute debout, mais peut brusquement se trouver à terre ou contre le treillage. Mais peu importe l’orientation du combattant et les techniques pratiquées, les principes de remporter le combat restent identiques.
Gagnant par KO
Le KO est une façon magistrale de finir un combat et d’exalter tout un arène. Certains combattants peuvent, durant toute leur carrière, ne jamais gagner par KO tandis que d’autres sont renommés être des vedettes du KO. On parle de knock-out ou KO quand un compétiteur s’effondre sur le ring inconscient, désarçonné ou juste inapte à riposter décemment. Quelquefois, la dernière frappe se donne à la suite d’une succession de coups ou bien quand un unique coup termine le combat. Rarement, un joueur en train de perdre va réunir toute son énergie pour porter un coup violent lui allouant la victoire. Que se soit par un coup de poing, un coup de pied ou une projection impulsive, un knock-out reste un accomplissement inoubliable pour chaque combattant.
Inciter à l’abandon
Un combattant peut également astreindre son ennemi à abandonner en l’assujettissant, entre autres, à un étranglement ou à une clé apposée sur un de ses membres. Pour la strangulation, une pression est exercée sur le cou, l’objectif étant de freiner le flux sanguin au cerveau. Le but de cette stratégie consiste à contraindre le concurrent à l’abandon, soit à taper avant qu’il ne s’évanouisse. À propos de la clé, l’attaquant manipule une articulation de son challenger le plus fort possible pour lui occasionner une profonde douleur et l’obliger à taper pour pallier aux conséquences graves. De même, une soumission peut être collée debout, même si en général elle se pratique au sol. Le compétiteur soumis peut taper afin de signaler son abandon ou l’annoncer verbalement pour obvier à une plaie ou une syncope.